L'étude suisse conclut que les personnes qui n'envisagent pas de modifier leurs habitudes d'écoute font preuve d'un manque de connaissances, ne se sentent pas particulièrement à risque et ne voient pas les avantages des mesures préventives. À l’inverse, ceux qui envisagent un changement perçoivent des obstacles (par exemple, le manque d’informations sur la manière d’agir). L’auto-efficacité s’avère jouer un rôle ambivalent, selon l’étude.
Lien vers l'étude: hear-it.org
Source: hear-it.org
Image: LifesizeImages / Thinkstock